Annie Gray, Dowtown Abbey le livre de cuisine, Marabout.

On profite de ces derniers jours de vacances pour patisser ! Aujourd’hui, réalisation de quelques gâteaux pour l’heure du thé, tout droit sortis du livre de recettes de la série Dowtown Abbey !

Un livre qui propose 100 recettes officielles de la série, accompagnées chacune de moments précis ainsi que de notes et d’anecdotes, et de photos des différentes saisons !

Ici, on est donc prêts pour un english tea time, avec quelques pétales de rose et violette de la confiserie locale Florian, et les fraises du jardin enrobées de chocolat blanc !

Robert Tuesley Anderson, Les recettes du monde de Tolkien, Hachette.

Mon amour pour Tolkien n’est plus un scoop ! Et la cuisine est un centre d’intérêt familial.
Dans les cadeaux qu’il me fait, mon cher et tendre fait toujours un clin d’œil à Tolkien… Et j’ai eu il y a peu ce chouette ouvrage autour des recettes inspirées par la terre du Milieu.

75 recettes réparties selon l’emploi du temps gustatif des Hobbits, des Elfes ou autres peuples connus dans l’univers de Tolkien. Quelques citations contextualisent la recette en question.

Ici, les galettes aux epinards et à la patate douce, qui sont succulentes !

Aurélie Bellacicco et Sarah Lachhab, Ecosse, avoine, haggis & cranachan, éditions de la Martinière.

En ce samedi, j’ai choisi de vous présenter un livre de cuisine, autour de l’Ecosse.

J’ai pris goût à l’Ecosse et ses traditions en découvrant Outlander. Et quand on a vu ce livre trôner au plein milieu du rayon de la librairie, un simple regard avec ma Maman a suffit à ce qu’il rejoigne notre panier !

Ni une, ni deux, nous avons essayé la recette des Fatty cutties, scones à la poêle. Un seul mot à dire : délicieux !

Les recettes sont réparties en plusieurs catégories (pains, poissons et crustacés, viandes, légumes, scones biscuits et desserts, à boire), ce qui vous permet de créer un repas sur mesure autour de l’Ecosse ! En plus, des inserts historiques viennent rythmer votre voyage au fil des pages.

Rien de mieux que de déguster ces scones en lisant confortablement un tome de Outlander ou de la saga dédiée à John Grey !

Véronique Chauvy, Aux douceurs du temps, J’ai Lu.

« Ta Juliette, est-ce que c’est elle qui manipule le chaudron à confiture ? C’est elle qui porte les kilos de sucre et de fruits ? Non, c’est son employé de mari. Voilà à quoi elle le réduit, son Pierre : un manutentionnaire et un ouvrier. Elle étouffe tout esprit de création, car elle impose ses recettes. Si les femmes se mêlent de notre métier, c’est la fin de notre corporation ! »

« Chaque matin, elle consacrait trois heures à élaborer ses spécialités de cerises avant d’ouvrir le magasin. Une clientèle curieuse de découvrir cette nouvelle boutique avait inauguré Aux douceurs du temps en juin. En un peu plus d’un mois et demi, Juliette avait tenu son pari de faire rénover l’intérieur du magasin ; un menuisier et un peintre s’étaient activés, rafraîchissant les murs et les boiseries. Des bassines et des chaudrons flambant neuf avaient été installés, signés d’un grand nom parisien de l’équipement des confiseurs, des boîtes et des bocaux avaient été livrés, qu’elle avait ornés d’étiquettes que Rodolphe lui avaient imprimées. »

J’ai découvert ce livre par hasard, il s’est imposé devant moi lors d’un passage à Cultura. J’ai d’abord été séduite par sa couverture et la quatrième de couverture a confirmé mon envie de le lire ! Ni une, ni deux, il avait rejoint ma Pile à Lire, pourtant déjà bien fournie. Pour ce début de vacances, voici donc la chronique de ce joli roman !

Retour dans les années 1900, en Auvergne. Les confiseurs connaissent un bel essor. Juliette, une jeune fille, se voit léguer une confiserie. Une femme confiseur à cette époque n’est pas courant. Malgré de très bonnes confiseries, elle va devoir se battre pour se faire une place dans ce milieu masculin. Va-t-elle réussir ? Comment concilier patrimoine historique, nouveautés, histoire d’amour et avenir professionnel ?

Un roman que l’on savoure comme une des délicieuses cerises de Juliette ! On apprécie le côté historique allié à l’aspect romancé de ce récit ! À lire avec de bonnes confiseries !

Stéphanie Genty, Sabrina Baldo de Brébisson, Julio de Los Reyes Lozano, La traduction audiovisuelle, normes, transgressions et nouveaux défis professionnels, l’Entretemps éditions.

« Les contributions ici recueillies cherchent à montrer des problématiques peu explorées jusqu’à maintenant et à apporter des réponses tant sur le plan théorique que pratique. Structuré en trois sections, le volume aborde dans un premier temps la notion de norme en traduction audiovisuelle en tant que convention ou pratique habituelle et l’acceptation ou la transgression de ces normes préétablies. La deuxième partie de l’ouvrage porte sur le binôme « traduction-culture », plus précisément sur le rôle primordial de la traduction audiovisuelle comme vecteur de cultures. […] Enfin, le livre se termine par un ensemble d’articles qui œuvrent la porte de la recherche en traduction audiovisuelle à d’autres domaines d’activité (…). « 

C’est très en retard que je publie cette chronique. Les dernières semaines ont été intenses, sur le plan professionnel. Entre les heures de cours et les événements théâtraux en tous genres, je n’ai pas même eu le temps de me connecter !
Je remercie Babelio ainsi que la maison d’édition pour cet envoi, qui a été très intéressant et qui a trouvé sa place au sein de mes cours de théâtre au lycée !

Cet ouvrage est un ensemble de nombreux articles autour de la traduction audiovisuelle. Ainsi, si un résumé est impossible à faire étant donné la diversité des sujets de recherche, nous pouvons cependant dire que tous ces articles convergent vers cette traduction que nous pouvons faire quand nous passons d’un texte au cinéma ou au théâtre. Réécriture, adaptation, deux systèmes qui mettent en lumière un nouveau regard sur l’objet original. Ces articles nous mènent sur le chemin de la recherche.

Un livre qui reste à portée de main et qui nourrit mes cours de théâtre, nous qui travaillons actuellement sur la réécriture et l’adaptation avec mes élèves de théâtre !