Prix Nouvelles voix du polar, Katrine Engberg, l’enfant Étoile, Pocket.

« Écrire un roman policier, c’est comme tresser une toile d’araignée ; des milliers de fils collent aux doigts et se cassent si on ne se concentre pas. »

« Cela peut signifier plusieurs choses, mais j’ai déjà rencontré l’expression dans un certain contexte. Des enfants ayant grandi dans un orphelinat ou un foyer se référent parfois à ce genre d’endroit comme à une usine à cauchemars. »

C’est avec joie que j’ai eu dans la boîte aux lettres la sélection Pocket pour le prix Nouvelles voix du polar, puisque j’ai été retenue comme juré. Si j’ai voté ce matin même à l’issue de la lecture des quatre romans pour mes deux préférés- un français et un étranger- j’ai choisi de partager avec vous la lecture de ces quatre polar sur toute la période estivale. Aujourd’hui, je vous présente le premier que j’ai lu : L’enfant Étoile.

Gregers, vieux monsieur vivant seul dans son appartement d’un immeuble détenu par madame de Laurenti, tombe sur le cadavre de sa jeune voisine Julie. Son visage a été découpé minutieusement. Alors que l’enquête avance, Madame de Laurenti, écrivaine en devenir, voit le thriller qu’elle a composé prendre vie dans la réalité… Qui inspire qui ? Pourquoi Julie a-t-elle été tuée dans ces horribles circonstances ?

Un polar d’une cruelle et d’une machiavélique douceur. Des histoires de vie qui s’entrecroisent, qui se heurtent, qui font des dommages… On suit l’enquête, on émet quelques hypothèses mais le tout est trop enchevêtré. Un bon moment de lecture !

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