Michael McDowell, Les Aiguilles d’or, Monsieur Toussaint Louverture.

« Elle avait froid, très froid, car son esprit ne cessait de se représenter une paire de brillants yeux bleu clair. Ils avaient paru incongrus dans le visage creux de ce frêle jeune homme chez Harry Hill, car Lena se les remémorait chez un autre – celui qu’elle détestait plus que quiconque en ce monde, l’homme responsable de la mort de son mari. »

Comme le nouveau roman de Michael McDowell aux éditions Monsieur Toussaint Louverture est sorti et qu’il va rejoindre ma PAL d’un instant à l’autre, j’ai choisi de revenir sur cette lecture- Les Aiguilles d’or- que j’ai fini il y a déjà un moment. J’avais adoré la Saga Blackwater et je me lançai sans hésitation aucune dans la lecture de celui-ci.

Dans le New-York des années 1882, on suit les aventures de deux illustres familles. L’une a fait son commerce dans les quartiers malfamés alors que l’autre est une famille bourgeoise. Pourtant, les deux vont se retrouver intimement liées…

Une lecture qui nous happe, où chaque page nous laisse entrevoir un monde plus machiavélique que la page précédente. On sursaute, on a des haut le cœurs, mais il nous est impossible de refermer le livre avant sa fin !

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